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Conclusion générale des travaux personnels encadrés
Médecine légale, entomologie, balistique, psychologie... ? Tout un ensemble de disciplines d’autant plus différentes que variés mais dont l’ultime objectif est le même. En effet, à travers celles-ci, la police scientifique est en quête d’indices pouvant lui servir de pistes à l’identification de criminels.
Par ailleurs, grâce à l’avancée de la technologie, les techniques d’analyses des traces biologiques et physiques relevées sur une scène de crime s’améliorent au fur et à mesure que le temps passe. Pour étudier les multiples indices prélevés lors de l’inspection des lieux du crime, la police scientifique a donc recours à ces nouvelles techniques scientifiques modernes de la criminalistique pour analyser les indices du crime qui ont, cependant, un intérêt capital pour l’avance de l’enquête policière. En effet, elles établissent une preuve matérielle dans les affaires judiciaire et peuvent donc être d’une grande aide pour la police.
Peu précautionneux, certains criminels ont tendance a laissé certaines traces derrières eux, qui, même s’ils tentent d’effacer demeurent indélébiles. La plupart du temps, ce sont les empreintes digitales que la police découvre en premier lieu, elle procède donc à la dactyloscopie pour identifier leur propriétaire. Puis un médecin légiste procède à l’autopsie du corps de la victime pour identifier les circonstances de sa mort (Strangulation, suicide, viol, étouffement, noyades …) et pour dater son heure. Par conséquent, si cette dernière à été causé par une arme à feu, on fait appel à la balistique pour déterminer la provenance de la balle et l’identification de l’arme.
Enfin, les experts de la police scientifique mettent de moins en moins de temps à analyser les preuves grâce à l’évolution de la technologie, et la fiabilité de ces analyses devient cependant de plus en plus importante. Supprimer les publicités sur ce site pendant 1 an
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